Qu’il est triste de voir autant de clichés dans une vidéo. Triste et tellement convenu : pas de risque, pas d’audace chez Piaget.
Triste clap de fin pour l’Altiplano; summum de l’élégance, devenue vilaine, une fée marketing s’étant penchée sur son cercueil.
Nous vous laissons juge, bien évidemment, mais la liste des clichés est terrible, sans parler de la bande son :
- le jeu d’échecs ;
- l’alcool ;
- la pseudo décontraction du « winner » ;
- le bateau qui file vers le succès ;
- la soirée d’anniversaire ;
- le cadeau (oh !, surprise une montre Piaget !) ;
- le happy end du male dominant ;
- sans parler du recours à un « égérie »…
- une bande son molasse et compassée ;
- Rien de neuf sous le soleil de la stérilité corporate du monde du luxe.
Dans le même style, vous avez Bollinger…
Montage plus clippé, musique plus trendy… au moins le réalisateur aurait-il pu montrer aux acteurs comment tenir un verre de champagne.