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Ma première Bugatti

Une Bugatti mini électrique pour un cadeau d’anniversaire de luxe aux enchères à Cherveny par Rouillac. Tout un programme !
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BUGATTI BABY, 1929.

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Type « Baby » 52. 3 B. N° de série 319 A. Couleur bleue.

1929.

Technique :
Le numéro de série est frappé sur la tôle d’appui du dossier du siège et sur le tablier. La caisse est en tôle d’aluminium, montée sur un châssis.

Le capot avant est maintenu par deux sangles de cuir. Le véhicule est équipé d’une suspension avant à lames sur essieu rigide. L’arrière est équipé d’un essieu rigide fixe. Les pivots avant et l’essieu arrière sont équipés de graisseurs. La direction, à vis, est transmise par barres et biellettes à rotules.

Le moteur est électrique, de marque PARIS-RHÔNE, N° 54137. Il est alimenté par une batterie moderne de 12 volts. Le tableau de bord est équipé d’un ampèremètre de contrôle de charge et d’un contacteur : marche arrière/arrêt/marche avant.
Les 17 km/h sans permis…

L’accélération est assurée par une pédale qui agit sur un rhéostat à 6 positions. L’entraînement se fait sur les roues arrière, par l’intermédiaire d’un démultiplicateur. Le freinage à tambour, sur les 4 roues, est commandé par câble à l’aide d’un levier à main situé sur le côté droit, à l’extérieur du véhicule.

Les roues, en aluminium, sont équipées de pneus gonflables DUNLOP CORD  » BALLON  » Type JUVÉNILE. Une roue de secours est fixée, sur le côté gauche de la voiture, par une sangle de cuir.

Historique :
En 1927, lors du salon de l’automobile de Milan, Bugatti expose un modèle miniature du Grand Prix Bugatti, dont l’original a été conçu pour le jeune Roland, né en 1922, second fils d’Ettore Bugatti : les Baby Bugatti sont nées.

Jeune Prince – le futur roi du Maroc, Hassan II, se voit offrir un exemplaire de Bugatti 52 Baby, en compagnie de son père, à l’occasion de leur visite aux usines Molsheim.
Le futur roi des Belges, Baudouin, enfant s’est vu offrir parallèlement, un exemplaire comparable.

Cet exemplaire, « première main », a été offert en 1957, au fils d’un garagiste de Saint-Aignan-sur-Cher – et a été conservé précautionneusement – par lui, depuis.

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